Nom de l’auteur/autrice :marie-pierre laborde

La capitaine du TGB Adja Konteh a l'attaque
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Le TGB coule les Déferlantes malgré quelques déboires

Tarbes s’impose 74 à 56 au quai de l’Adour face à Nantes-Rezé malgré une seconde période  décevante. Heureusement, les Violettes ont su réagir pour creuser l’écart et dominer la seconde mi-temps. « Comme d’habitude« . C’est ce que retient le coach François Gomez du match de ses joueuses. Un très bon début de match, puis du laisser aller.  « On se prive du bonheur d’avoir de la constance dans le match et on se retrouve à la mi-temps au vestiaire en train de rouspéter et de réclamer de rentrer dans les consignes« .  Et comme d’habitude, les Violettes on su retrouver leur collectif et leur hargne pour dominer la seconde mi-temps et finir par s’imposer. « On fait notre travail de sape, on essaie d’imposer notre dureté, notre puissance, ça finit par payer. » explique François Gomez. « L’écart de point montre tout de même la qualité de notre jeu. » La seconde période est un creux de vague selon Michèle Plouffe. « Je pense que défensivement, on a manqué quelque chose. Nous n’étions pas très agressives. En face c’est une bonne équipe, elles ont trouvé les bonnes choses, marqué de bons tirs. C’est comme ça le basket (elle mime une vague). Mais on est restées dans le jeu tout de même. » Tarbes est aujourd’hui branché sur la fin de saison régulière avec deux déplacements, à Charleville-Mézières puis à Roche-Vendée. « On peut finir bien, précise Michèle Plouffe. Le dernier match à Mondeville on manque quelque chose, c’était pas beau. Mais cette fois c’est mieux. On travaille, on monte notre niveau de jeu. On a besoin de continuer comme ça. Le prochain match c’est à Charleville et ça, ce n’est pas facile. » La conférence de presse d’après-match Revoir le match TGB – Nantes:Rezé

la joie d'Adja Konteh après la victoire sur Villeneuve d'Ascq en mars 2018 au quai de l'Adour
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Saison 2018-2019 : Adja Konteh reste au TGB

La Nantaise a décidé de rempiler pour 2 années supplémentaires. Elle va donc conserver son n°11 chez les Violettes. Et on ne va pas s’en plaindre ! Arrivée après une grave blessure au genou il y a deux ans, Adja Konteh a participé à la belle remontée du TGB dans l’élite du basket féminin et a su retrouver une belle confiance en elle. Elle signé un nouveau contrat de 2 ans en Bigorre, avec une clause l’autorisant à partir au bout d’une année. « Une joueuse élégante au style unique » selon le coach François Gomez qui se réjouit bien entendu de conserver la capitaine de l’équipe actuelle dans l’effectif. Retour avec elle sur une année riche en rebondissements sportifs (et ce n’est pas fini) TGB : Pourquoi choisir de rester au TGB ? Adja Konteh : Je finis ma 3eme saison en Bigorre et cela se passe très bien. On va sûrement faire l’Eurocup et ça c’est vraiment cool. J’aime ce club, ses supporters. Travailler avec le coach François Gomez est aussi un atout. Il accorde beaucoup de confiance à ses joueuse et dégage une sérénité que j’apprécie. TGB : Ton expérience internationale a-t-elle changé quelque chose pour toi ? Adja Konteh : J’ai beaucoup appris avec les Internationales A. C’est une belle expérience et j’ai pris beaucoup de plaisir à y évoluer. Mais hormis cette joie et ce plaisir, cela n’a pas changé les choses pour moi. TGB : Comment vois-tu la fin de saison ? Adja Konteh : J’imagine le meilleur. On a beaucoup travaillé et on a un bon groupe. Je ne vois que des choses positives. Adja Konteh est née en 1992 à Nantes. Après sa formation à l’INSEP, elle rejoint le club d’Arras en LFB en 2010. Deux saisons plus tard, elle rejoint Aix. Puis Saint-Amand en 2013. Lors de la seconde rencontre de championnat avec le Hainaut, elle se blesse gravement au genou face à Toulouse, ce qui met fin à sa saison. Elle signe en 2015 à Tarbes en Ligue 2. Sur le plan international, Adja Konteh a été championne d’Europe cadette en 2007. Elle finira 3eme de la même compétition en 2008 et vice-championne des moins de 18 ans en 2009. En 2017, elle emporte les jeux de la francophonie avec l’équipe nationale. Elle a également participé sous le maillot tricolore avec les internationales A à la phase de qualifications pour l’Euro 2019.  

affiche TGB vs Nantes-Rezé
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TGB vs Nantes-Rezé sur un air d’Amérique

Dernier match à domicile de la saison régulière face à Nantes-Rezé ce samedi. Et pour l’occasion, le club vous offre l’Amérique… Encore une ambiance du tonnerre à prévoir ce samedi au quai de l’Adour pour la 20eme journée de la saison régulière. Pour cette occasion, le TGB et ses partenaires mettent le paquet en vous emmenant outre-Atlantique, le temps d’une rencontre de basket. Ça va déménager pendant les pauses Une trentaine de membres du Lons Cheederleading Team nous offriront pendant les pauses des quarts-temps et la mi-temps des démonstrations de leurs talents de pompom girls. Entre danses, chants et figures acrobatiques, le cheederleading est un sport de haut-niveau qui requiert beaucoup d’énergie, de dextérité et de coordination. Rien de tel pour nous gonfler à bloc derrière les Violettes ! Stetson et santiags de rigueur sous le chapiteau Sous le chapiteau extérieur, Passion Country 65 animera l’avant et l’après-match avec des démonstrations de danse country. De quoi se chauffer avant le début de la rencontre et fêter ça avec enthousiasme (et rythme) après l’effort. Passion Country est une association de l’agglomération tarbaise qui propose des animations, des cours et des démonstrations. Si ce samedi, vous vous découvrez des affinités avec le folklore américain, n’hésitez pas à les contacter. Elles rêvent (entre autre) d’Amérique Au programme également, nous pourrons encourager Pauline Rossi, licenciée du TGB en U11 et Marion Boué, licenciée en U13 à Monléon (club invité ce soir). La première a remporté le titre régional du Panier d’or, la plus haute distinction individuelle dans sa catégorie. La seconde a gagné le challenge régional benjamine. Elle est qualifiée pour la finale nationale à Paris, à l’Accor Arena lors des finales de la coupe de France le 21 avril. Ce challenge permet aux garçons et aux filles de 11 et 12 ans de participer à des tests d’adresse et de dextérité organisés par la FFBB sur toute la France. Avec un voyage aux Etats-Unis et une expérience NBA à la clé. Ahlala, l’Amérique. Un grand merci à Clémence pour l’organisation de cette magnifique soirée

Visuel victoire Mondeville TGB
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Mondeville-TGB : la victoire à un point

Retour sur le déplacement à Mondeville où nos Violettes se sont imposées 68-69. Un petit point certes mais qui assure une précieuse victoire. A trois journées de la fin de la saison régulière, nos Tarbaises réussissent une bonne opération en s’imposant d’un point à Mondeville dans une rencontre âprement disputée. Les Normandes se sont pourtant démenées pour coller aux Violettes qui ont du mobiliser toutes leur énergie ( à l’image de la meneuse Ana Suarez en grande forme) pour ne pas céder notamment dans les dernières minutes. Plus que 2 min avant la fin du match. La tension est palpable dans la halle !!! 66-69 @usombasket @TGBOfficielCom #basket #lfb #gosuom — Mondeville Basket (@usombasket) 24 mars 2018 Tarbes passe ainsi de à 7eme à la 4eme place. Quand on vous parle de bonne opération, ça sent les play-off comme si on y était ! Toutes les stats du match, par ici Revoir le match Mondeville TGB

TGB Basket fémininjournée detection
Actualités, Centre de formation

Journée de détection au centre de formation du TGB

Une quarantaine de candidates pour 8 places, le centre de formation du TGB attire les jeunes filles et c’est tant mieux. Mais la sélection est rude. Il leur a fallu envoyer cv et lettre de motivation pour pouvoir participer. En début d’après-midi, échauffements, ateliers, rencontres et visite du lycée Marie Curie où sont scolarisées les basketteuses. Intégrer un centre de formation requiert certes d’excellentes aptitudes pour le basket mais pas seulement. Il faut également être capable de suivre son cursus scolaire en ayant de bons résultats, de supporter l’éloignement de sa famille, la vie en communauté. Ce qui n’est pas à la portée de tout le monde, surtout à seulement 16 ans. C’est pourquoi les coachs sont très exigeants non seulement sur le niveau de basket mais aussi sur les motivations, la maturité, les valaurs partagées et la capacité de travail. Bref, intégrer le centre de formation du TGB n’est pas une fin mais le début d’une aventure exigeante. Mais quelle aventure.

Le TGB vainqueur de la coupe Ronchetti en 1996
Actualités, TGB

13 mars 1996 : le TGB vainqueur de la coupe Ronchetti

C’était il y a 22 ans pile poil. Souvenez-vous, le 13 mars 1996, le Tarbes Gespe Bigorre écrit l’une des plus belles pages du basket français en remportant un sacre européen. (extrait du site basket31.tv)     En 1995-1996, le TGB renouvelle les effectifs. Judith Balogh, une scoreuse d’origine Hongroise, Polina Tzekova, intérieure bulgare de 1,94m qui deviendra l’icone tarbaise que l’on connaît tous (et dont aujourd’hui encore on est totalement fan),  Sissako Bolanga de Rouen et l’internationale Corinne Benintendi, meneuse transfuge de Challes reconnaissable entre mille pour son inamovible bandana débarquent au quai de l’Adour (on a encore le même en souvenir). Malgré un début de saison chaotique, le TGB sort miraculeusement de la poule de 1/8ème de finales de la Coupe Ronchetti et entame son quart de finale face aux tchèques de Brno, dans la position de l’Outsider. Pourtant, deux victoires plus tard, le TGB se qualifie pour les demi-finales de la coupe Ronchetti, stade déjà atteint deux ans plus tôt. Mais cette fois-ci, les Bigourdanes sont bien décidées à ne pas s’arrêter là et dominent outrageusement l’équipe de Budapest, avec un écart moyen de 29 points sur les deux matchs. Au match aller, Judith Balogh se rappelle au bon souvenir de ses anciennes coéquipières en leur passant la bagatelle de 40 points ! 6 mars 1996 : l’heure de la finale a sonné face aux Italiennes d’Alacamo qui se sont fait une spécialité d’éliminer des Françaises. Le match aller de cette finale Ronchetti se déroule à Alcamo, en Sicile. Tarbes domine et s’impose 81 à 63. Le duel des scoreuses est remporté par Judith Balogh, avec 34 points, alors que Cynthia Cooper est laissée à « seulement » 28 points, égalant alors son plus faible total en Ronchetti cette saison. Damien Leyrolles a dû pianoter sur un effectif réduit, seules six joueuses prennent part à cette rencontre, quatre d’entre elles jouant la totalité du match, et deux (Gomis, 26 minutes et Bolanga, 14minutes) se partageant le temps de jeu restant. 13 mars 1996 : le feu au quai de l’Adour. Un écran géant est installé à la Halle Mercadieu pour permettre à ceux n’ayant pas pu avoir l’une des 2500 places de la salle d’assister malgré tout à la rencontre. La ville est en effervescence comme on l’a rarement vu. Et les Tarbaises vont remettre ça en gagnant 82 à 63. Cynthia Cooper a été à nouveau muselée, n’arrivant à marquer que 19 points, grâce à une défense serrée, alors que les Tarbaises se sont toutes mises en valeur. 17 passes décisives à 3 en faveur du TGB. Rien que ça. Judith Balogh, 21 points, Corinne Zago-Esquirol, 20 points, Polina Tzekova, 16 points et 9 rebonds, Christine Gomis, 12 points et 6 rebonds. Mais c’est surtout grâce au match de mammouth de Corinne Benintendi que le collectif a pu s’exprimer : 8 points, 7 rebonds, 3 interceptions, pour aller avec ses 16 passes décisives. Les filles deviennent les nouvelles stars du basket féminin en général et de Tarbes en particulier. Après Bourges en 1995, une autre équipe française féminine remporte une coupe d’Europe. Tarbes finira sa saison en remportant la Coupe de France mais ne réalisera pas le triplé, échouant face à Bourges en finale du championnat de France. En tout cas, le 13 mars 1996, le TGB a marqué le basket français de son empreinte, et est devenue une place forte du basket féminin, en s’installant régulièrement dans le haut de tableau du championnat de France, et participant à de nombreuses autres campagnes européennes.

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