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Laurent Huyghe, vainqueur de la coupe de France de paracyclisme en 2017
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Qui est Laurent Huyghe, parrain du match TGB-Nice ?

Coureur malvoyant tarbais, Laurent Huyghe vient de remporter la coupe de France de paracyclisme en tandem, son objectif de cette année. Celui qui donnera le coup d’envoi du match TGB contre Nice au quai de l’Adour ce samedi 3 mars 2018 est un bel exemple de ténacité, de persévérance et d’envie. Avec à la clé un palmarès bien fourni. Bref un champion comme on les adore au TGB. Laurent perd la vue à 24 ans, après une chute dans un peloton. Qu’à cela ne tienne, la passion du vélo prend le dessus sur le handicap et il remonte en selle. Il reprend l’entraînement et sur les routes des Pyrénées, découvre le tandem. Il roule sur des milliers de kilomètres, renoue avec la compétition (une autre passion) et obtient d’excellents résultats avec des pilotes d’exception. Jamais il n’abandonnera ses rêves et ne baissera les bras. Et les résultats suivent. En 2017, après 2 ans d’absence, il revient au cyclisme, il faut croire que cela le démangeait trop. Il repart avec son pilote de compétition, Pierre Fulchiron. Seul problème, Pierre habite près de Saint-Etienne. Qu’importe, Laurent Huyghes, licencié du Tarbes Handisport s’entraîne avec un autre pilote en Bigorre : Robert Santolaria, du club du Cyclo Roue libre de Bernac-Debat. A 45 ans, Laurent ambitionnait la coupe de France 2017 de paracyclisme. C’est chose faite. Avec déjà en tête 2018 et une nouvelle coupe de France voire pourquoi pas un maillot en championnat de France vétéran. Pour partager la passion de Laurent Huyghe, vous pouvez aller sur son site ou le suivre sur facebook.

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TGB-Nice : pourquoi pas de nouvelles ambitions ?

Ce samedi, les Violettes affrontent Nice, dernières au classement. Un match important qui pourraient ouvrir de nouvelles perspectives en cas de victoire. Les explications de François Gomez, l’entraîneur du TGB. Où en est Nice aujourd’hui ? FG : L’Equipe de Nice, actuellement dernier du championnat, vit des moments difficiles avec le départ de son entraîneur et d’une de ses joueuses emblématiques, Géraldine Robert, qui a rejoint Lyon. Mais vous savez ce qu’on dit d’un animal blessé. Comment aborder ce match dans cette situation ? FG : Moi je pense que Nice est dangereux et joue sa vie dans des rencontres comme celle de ce samedi. D’autant plus que cette équipe nous avait battu au match aller (66-60 le 21/10/2017 NDLR). Nous concernant, une victoire contre le Cagival pourrait, non pas mathématiquement mais psychologiquement, nous propulser hors de la zone des 4 derniers et nous ferait atteindre nos objectifs bien avant la date. Quid du reste de la saison dans ce cas ? FG : Ce match est important parce qu’il nous ouvre, en cas de victoire, d’autres ambitions. Notre objectif atteint, on pourrait s’en fixer de nouveaux pour terminer cette saison régulière sur une très bonne note. TGB-Nice c’est ce samedi à 20h au quai de l’Adour.

ballon sur parquet
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Le TGB recrute !

Fort de ses bons résultats sportifs, le TGB, club de basket  féminin tarbais (65) évoluant en ligue 1 et classé à ce jour à la 5eme place du classement de saison régulière, souhaite améliorer le suivi de ses 220 partenaires. Le club recrute donc un : Responsable développement partenariats (H/F) Missions : Assure le suivi récurrent des partenaires existants sur les départements 65, 31, 32 et Béarn Met en oeuvre les actions visant à augmenter leur niveau de participation Cible et identifie les partenaires potentiels. A ce titre, il en assure la prospection Négocie et signe les accords de partenariats. A ce titre, il est garant de l’encaissement des factures Est garant du CA sur la zone qui lui a été attribuée Est garant des intérêts des partenaires dans l’exécution des différents outils de communication vendus Respecte la politique tarifaire Assure le reporting de son activité en renseignant les outils mis à sa disposition (CRM…) et participe aux réunions du bureau. Participe au développement commercial et technique de l’association Collabore en étroites relations avec le service communication Assure la préparation et l’accueil des partenaires au cours des matches. Profil : Pour ce poste stratégique, nous recherchons un candidat d’un niveau Bac+2, ayant de préférence une première expérience. Votre forte affinité à la vente, votre goût prononcé pour le sport plutôt d’équipe et votre capacité d’investissement personnel (présence aux matches : 12 week-end environ) seront vos atouts majeurs pour évoluer au sein de l’association. La maîtrise de l’anglais est indispensable. Rémunération brute annuelle : 28 K€ dont 4K€ de primes sur objectifs Véhicule de fonction type Clio, frais réels, smartphone, PC. Domiciliation du poste : sur le secteur Merci d’adresser vos candidatures à Qualicom sous la référence RPARTTGB0318 05.59.31.89.05 qualicomnet@wanadoo.fr

Affiche du match de basket TGB-Nice
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RDV samedi pour TGB-Nice !

Impatients de retrouver le TGB ? Vous le savez, elles l’ont prouvé maintes fois, elles donnent tout … Spectacle et émotions assurés ! Ne manquez pas le retour des Violettes sur le parquet du quai de l’Adour  ce samedi à 20H ! L’équipe et le staff du TGB comptent sur vous, une nouvelle fois, pour les soutenir et les porter vers la victoire … Tous ensemble avec le TGB ! Pour soutenir les Violettes à l’occasion de ce match, l’invité d’honneur sera Laurent Huyghe, champion de la Coupe de France 2017 de Paracyclisme.

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Revoir la victoire du TGB au Hainaut

Les Violettes se méfiaient de cette équipe du Hainaut et elles ont eu raison. Le match, très disputé et mené au score par les Nordistes dans un premier temps a finalement tourné à l’avantage des Violettes. Malgré un score 50-40 à la 25eme minutes, le TGB a fait une remontée express en 5 minutes ( 52-53) et a pris une légère avance que nos Violettes ont réussi à garder. Victoire 64-70. Une bonne opération.

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François Gomez en Suède : l’Europe à portée de tir

De retour de Suède où François Gomez entraîne l’équipe nationale en vue des championnats d’Europe, le coach du TGB revient sur cette expérience. Les Suédoises ont enregistré une sévère défaite face à l’Italie (47-69) mais se sont imposées 63-55 face aux Croates, autre gros morceau de la poule H. La Suède est donc bien placée pour se qualifier. TGB : où en est la Suède dans ces qualifications pour les championnats d’Europe ? FG : Nous sommes dans un groupe compliqué avec la présence de deux équipes réputées difficiles. Il s’agit de la Croatie et de l’Italie. Nous sommes actuellement 2eme après notre victoire ce mercredi 63 à 55 sur la Croatie. Nous allons donc pouvoir nous déplacer plus sereinement, avec confiance et optimisme, en novembre en Macédoine, puis en Italie. Ce match était crucial. En plus, il se jouait à Stockholm dans une patinoire de hockey sur glace transformée pour la circonstance en salle de basket. La rencontre s’est jouée devant 5 à 8000 spectateurs en présence du premier ministre suédois Stefan Löfven. Le basket suédois s’appuie sur des bonnes qualités athlétiques et une agressivité naturelle. Nous travaillons à améliorer le contrôle du ballon et la connaissance du jeu. Si notre équipe progresse rapidement dans ces deux secteurs, nous pouvons espérer un bel avenir. TGB : Quelles sensations éprouve-t-on à se retrouver en compétitions internationales avec une équipe nationale ? FG : La gestion d’une équipe nationale est complètement différente d’une équipe de club. Il s’agit en peu de temps de créer une cohésion avec des joueuses venant de tout bord. Il faut aussi les accompagner dans la gestion psychologique des événements. Les milliers de spectateurs qui ont assisté au match face à l’Italie puis la Croatie ont battu un record d’affluence pour une rencontre de basket féminin. La pression de l’événement est un élément important des rencontres internationales. Je crois qu’un sportif de haut niveau apprécie ces matches-là. Moi, je les apprécie tout particulièrement. TGB : Comment arrive-t-on à gérer un travail d’entraîneur dans deux endroits si éloignés ?  FG : La gestion du temps est mon travail quotidien. Si les nuits sont un peu plus courtes, je peux compter sur les gens qui m’accompagnent. A Tarbes, Lionel Oustry gère les aspects techniques tandis que Joël Coustures gère les aspects logistiques. Avec ces deux partenaires, je peux gérer à distance et tranquillité les affaires du TGB. Il en va de même en Suède. Mon staff est composé de deux assistants qui sont des coaches professionnels. La mayonnaise a bien pris et nous avons une confiance mutuelle les uns envers les autres. Le staff médical est composé de deux kinésithérapeutes, d’un ou deux médecins. Toute la logistique est prise en charge de façon à être libéré de toute contrainte extra-sportive. Tout cela est chapeauté par la secrétaire de la fédération suédoise. Il m’est donc très facile de courir deux lièvres à la fois. TGB : Qu’est-ce que cette expérience t’apporte ? Le rêve de tout entraîneur est d’évoluer au plus haut niveau. Dans mon esprit, la qualification européenne n’est qu’une étape. J’essaye de partager mon rêve de qualifier l’équipe suédoise pour les prochains jeux olympiques. Si nous pouvions atteindre cet objectif, ce serait une expérience unique pour moi mais aussi pour les joueuses. Pour cela, il me faut en très peu de temps créer un collectif sur et en dehors du terrain et c’est bien là que la tâche est ardue. TGB : Où sont les principales difficultés ? Si le temps n’est pas un ami, la langue non plus. Heureusement les Suédois parlent un anglais parfait et sont très tolérant avec le mien. J’ai la chance d’avoir un assistant d’origine chilienne qui parle couramment l’espagnol, ma langue paternelle. J’ai aussi Amanda Zahui et Kalis Lloyd qui me servent d’interprètes puisque toutes les 2 parlent couramment le français. Autre difficulté, c’est la pression qu’exerce toute une partie du pays sur le résultat de l’équipe nationale. Les matches sont diffusés sur la plus grande chaîne publique du pays et relayés par la presse nationale, sous les yeux des plus hauts personnages de l’Etat. Heureusement, je suis protégé par mon environnement et j’ai la chance de na pas savoir lire le suédois, surtout après notre défaite cinglante face à l’Italie. TGB : Y aura-t-il un « effet suédois » sur l’équipe du TGB ? Pour le moment, cette expérience n’apporte pas grand-chose au TGB mais qui sait si à l’avenir, nous ne pourrons pas voir évoluer au quai de l’Adour des joueuses venues de Scandinavie. Revoir les meilleurs moments de Suède-Croatie

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